mercredi 1 février 2012

Parce qu’il faut bien un début

Oh non, je ne vais pas écrire des tartines sur ma vie. Certainement pas.
Je ne vais pas le faire pour la bonne et simple raison que les tartines, moi, je les mange.
Je vous arrête tout de suite. Je sens que vous imaginez la confiture qui dégouline des trous de la tartine. Quelle méprise, mes bons amis, quelle méprise ! Cette histoire est, d’une, galvaudée, de deux, pas possible. Vous me voyez, moi, croquer dans une tartine boursouflée de confiture ?
Non, non, non. Trois fois non.
La confiture, règle d’or de ma vie intime (puisque je me vois contrainte de glisser sur ce terrain-là), je la mange – que dis-je ! – je la savoure en plongeant une cuillère à même le pot, et cette cuillère bien pleine vient faire un vol plané pour atterrir directement dans ma bouche.
Sans passer par l’étape tartinage sur du pain.
Ben oui ! Quelle hérésie ! Quelle perte de temps ! Comment pourrais-je apprécier une bonne gelée de groseilles sans la laisser fondre, seule, sur ma langue qui s’acidule seconde après seconde grâce à cette technique imparable ?
Euh… n’allez pas non plus penser que je me promène avec mon pot de gelée de groseilles à chaque rendez-vous amoureux où ma langue risque d’entrer en contact avec une autre… Voyons, ce serait alourdir mon sac un peu trop tous les jours !!!

Allez, à plus les amis !

Ps 1: Je sais que l’hypoglycémie est un fantôme menaçant - presque un fléau - de la vie quotidienne, mais vous me ferez le plaisir de ne pas essayer ma technique tous les jours jusqu’à notre prochaine rencontre afin d’y palier! Sinon, bonjour les dégâts… Pour vous dire : même moi, je me maîtrise …

Ps 2 : Oh Nutella, oh mon amour, je ne te délaisse pas. Promis, un jour, tu auras ta chronique à toi.

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