Pas
beaucoup de mots.
Pas
beaucoup de mots qui viennent dans cette gueule de bois ensanglantée.
Juste
des pensées en vrac.
Des
pensées à ces morts inutiles.
À
l’horreur.
À
ces déviations de religions stériles et vides de sens.
Des
pensées à l’amour, à Paris, au bien-être de vivre ensemble, ensemble en tant qu’êtres
humains c’est tout, des pensées à la liberté, à l’égalité, à la fraternité, des
pensées à la vie.
Fluctuat nec mergitur.
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